Le 11ème Congrès national des CEMÉA à Grenoble

Du 19 au 23 août 2015 à Grenoble
Le 11ème Congrès national des CEMÉA
La dimension de cette 11ème édition sera prospective. Ce sera un congrès de l’anticipation, de l’imagination, de la construction des CEMÉA de demain.

Ce Congrès, le 11ème dans l’histoire des CEMÉA, se déroulera à Grenoble, du 19 au 23 août 2015. C’est, dans la vie associative des CEMÉA, un moment exceptionnel, les congrès ayant lieu tous les cinq ans. Cette manifestation rassemblera plus de 700 membres actifs, militants des CEMÉA, venant de toutes les régions métropolitaines et de tous les pays, territoires ou départements d’outre-mer. Membres actifs des Ceméa, vous pouvez consulter d’autres informations sur le site interne des Ceméa.

Un congrès des CEMÉA, ce sont des conférences, des groupes de réflexions thématiques, des ateliers de pratiques, des forums de présentation de projets… Chaque congressiste participe au congrès à travers un parcours comprenant à la fois des « temps » de travail systématiques, communs à tous, en plénière ou en groupes, et des « temps » à la carte, choisis en fonction de préoccupations spécifiques.

Le Congrès des CEMÉA inclut dans son organisation en amont, pendant deux jours, un regroupement spécifique pour les équipes de militants des outre-mers.

Le Congrès de Grenoble, dans ses intentions, dans sa forme, dans son déroulé, dans sa préparation, sera un congrès différent.

La particularité 2015 : le militant construit son parcours, son itinéraire au sein du Congrès et dans un engagement de construction collective.

Extrait de l’éditorial de Jean-Luc Cazaillon, Directeur général des Ceméa, paru dans la Lettre Repère et Actions des Ceméa.

« … A la différence des congrès précédents, il n’aura pas vocation à réinterroger les Projets Régionaux d’Actions et de Développement puis le Projet Associatif National pour en construire un nouveau. Le projet qui est actuellement le nôtre reste pertinent. Les orientations politiques, exprimées par ailleurs dans le Manifeste, les orientations par champs d’activités, celles concernant la dimension interne de notre mouvement, tout cela reste actuel ! C’est donc sur cette base que les travaux préparatoires du congrès de 2015 doivent s’engager. Et permettre aux congressistes d’analyser notre environnement, nos environnements, d’agir sur ces environnements, d’oser ce que nous ne faisons pas et que nous pourrions ou devrions faire.
Ce congrès sera politique, engagé.
Ce congrès sera celui du mouvement ! Des militantes et des militants qui inventent, qui proposent, qui osent !
Ce congrès sera celui qui doit nous engager vers « demain », nous inviter à penser ce que nous voulons faire de nous mêmes.
Ce congrès sera celui du bouillonnement, de l’effervescence, de ces agitations géniales et modestes à la fois qui inventent le futur… »


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