Par Alexandre Agnès,
(inspiré de la table ronde Psychothérapie et pédagogie institutionnelle, réinventer du possible)
Il y a près de 60 ans avait lieu le premier congrès des Ceméa. Un après-midi fut consacré à la psychiatrie. Émerge alors l’idée de mettre en place des stages à destination des personnels psychiatriques. Volonté de transformer le milieu asilaire. Volonté d’amener de l’animation et des méthodes actives.
Petit retour en arrière.
1940, Daumezon, Saint-Alban, révolution.
Base de la psychiatrie nouvelle.
Échanges entre personnels et patients.
Vraies conditions d’accueil et de travail.
Oser remettre en question la hiérarchie statutaire.
La psychothérapie marche sur 2 jambes.
Une clinique. Une politique.
Aujourd’hui, nombre de soignant-e-s ont une jambe de bois.
Transformer ce qui va de soi, ce qui est établit.
La relation qui se réinstalle pour envisager de nouveau le soin.
Audace : prendre des logiques plurielles.
Oury disait que la psychothérapie n’existait pas.
Deligny aurait surement dit la même chose.
Éduquer, soigner, gouverner,
Trois métiers impossible disait Freud.
Souvent on n’atteint pas l’objectif fixé.
On accueil la souffrance.
L’État a oublié son rôle de soutien.
Image de soi = on ne sait plus qui on est.
Transfert : relation de confiance.
Constellation transferentielle, pour le soignant, pour le patient.
Remise en question, nécessité d’être un groupe.
Le politique, la solution.
Soigner les fous dans la cité, avec la cité.
Abandon, politique démagogique.
Vers 2 ans toute puissance infantile.
Limiter la puissance.
Autorité parentale. Intérioriser.
Absence de limite, comportement pathologico-social.
Problème de temps, problème du temps.
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