Par Alexandre Agnès.
Gros rush ce mercredi matin pour l’équipe organisatrice du congrès. 350 personnes doivent être accueillies en quelques heures. Plus de 800 personnes seront présentes pour l’ouverture à 14h. Au total, on peut compter sur une cinquantaine de militant-e-s de l’association territoriale de Rhône-Alpes pour assurer le bon fonctionnement d’une telle manifestation.
C’est à travers 3 grands pôles que se décompose l’équipe qui s’est constituée progressivement il y a plus d’un an maintenant :
– Le pôle accueil qui gère la répartition dans les hébergement du campus universitaire, les modalités d’accueil des congressistes, le fléchage et les repas.
– Le pôle logistique qui s’occupe du transport du matériel et des différents aménagements.
– Le pôle activité qui propose et coordonne les animations en lien avec l’environnement.
Chaque pôle est composé d’un-e ou deux responsables accompagné-e-s par une quinzaine de bénévoles. L’équipe se réunit tous les soirs au premier étage de l’espace de vie étudiante (lieu de convivialité principal de ce congrès). Pour s’organiser, l’équipe a mis en place un mur des missions, banderole chronologique référençant les différentes actions avec leurs besoins humains et matériels. Chaque bénévole peut s’y inscrire et doit donc régulièrement se rendre devant cet espace de travail centralisé.
Toute cette logistique n’est pas le fruit du hasard. L’organisation a commencé à se structurer il y a plus d’un an autour d’un travail à la fois national et régional. Les idées ont germé petit à petit. C’est pendant les rencontres pédagogiques nationales de Quiberon que s’est créée la dynamique : mise en place des échéances, des protocoles de travail et l’émergence des premières réflexions autour des différents axes du chant des possibles pour définir les Ceméa de demain. Ces axes seront mis au travail par l’ensemble des militant-e-s durant ce congrès.
Accueillir un tel rassemblement, ce n’est pas chose aisée, mais la volonté de l’équipe de Rhône-Alpes était forte pour porter ce projet. Parce qu’elle se sentait tout simplement prête, qu’elle peut compter sur une force vive de 200 militant-e-s, que l’ Association territoriale fonctionne bien et qu’elle a atteint un certain seuil de maturité. Sans oublier la richesse de l’environnement grenoblois. De plus, cela implique de repenser l’activité et les échéances de l’association, mais aussi de retravailler sur la vie du mouvement.
Aujourd’hui, juste avant l’ouverture, même après toute cette préparation, il faut s’adapter car la réalité de terrain amène d’inévitables imprévus. Pour autant, l’adaptation, la souplesse, la volonté de ne pas tout prévoir pour mieux voir et réagir en conséquence, sont des atouts chez les militant-e-s de l’Éducation Nouvelle.
Voir le site de l’Association territoriale des Ceméa de Rhône-Alpes
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