Congrès national des Ceméa 2015 » Revue de Presse https://test.cemea.asso.fr Mon, 25 Jan 2016 09:03:54 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.3.13 Echos du congrès dans un article du Monde  » Entre colo et colloque, la rentrée des profs militants » par Luc Cédelle https://test.cemea.asso.fr/non-classe/2015/08/echos-du-congres-dans-un-article-du-monde-entre-colo-et-colloque-la-rentree-des-profs-militants-par-luc-cedelle/ https://test.cemea.asso.fr/non-classe/2015/08/echos-du-congres-dans-un-article-du-monde-entre-colo-et-colloque-la-rentree-des-profs-militants-par-luc-cedelle/#comments Fri, 28 Aug 2015 19:44:09 +0000 http://congres2015.cemea.asso.fr/?p=4222 Extraits… « Chaque année, à partir de la mi-août, des enseignants appartenant à différents mouvements pédagogiques se réunissent pour des stages ... Lire la suite ›

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Extraits…

« Chaque année, à partir de la mi-août, des enseignants appartenant à différents mouvements pédagogiques se réunissent pour des stages ou rencontres d’été, où leurs débats préfigurent souvent les enjeux de la prochaine rentrée scolaire….  »

… »Les militants pédagogiques sont souvent impliqués dans les mouvements d’éducation populaire, avec lesquels ils partagent une même vision des enjeux éducatifs. Créés en 1937 après le Front populaire, les Centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active (Ceméa) sont un des piliers de l’éducation populaire, avec environ 3 500 membres actifs et encartés. Les 700 participants au 11e congrès, qui s’est tenu à Grenoble du 17 au 23 août, ont été salués par un message vidéo de la ministre de l’éducation, Najat Vallaud-Belkacem, les remerciant de leur appui. Comme le CRAP-Cahiers pédagogiques et l’ICEM, les Ceméa soutiennent publiquement la réforme du collège. Ce qui n’est pas sans créer quelques tensions internes, certains adhérents étant aussi membres du SNES-FSU, principal syndicat des professeurs du secondaire, lancé, lui, dans une bataille résolue contre cette réforme. Les rencontres estivales ne réduisent pas les divisions du monde éducatif. »

Lire l’article en entier qui porte principalement sur les universités d’été des Crap et du mouvement Freinet.

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« CEMEA : un congrès pour que les jeunes et les anciens partagent les mêmes valeurs » (Dépêche de l’Agence ToutEduc) https://test.cemea.asso.fr/espace-presse/2015/08/cemea-un-congres-pour-que-les-jeunes-et-les-anciens-partagent-les-memes-valeurs/ https://test.cemea.asso.fr/espace-presse/2015/08/cemea-un-congres-pour-que-les-jeunes-et-les-anciens-partagent-les-memes-valeurs/#comments Sat, 22 Aug 2015 17:59:25 +0000 http://congres2015.cemea.asso.fr/?p=3552 Le premier enjeu du XIème congrès des CEMEA, qui s’achèvera demain dimanche 23 août, est de donner aux militants le ... Lire la suite ›

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Le premier enjeu du XIème congrès des CEMEA, qui s’achèvera demain dimanche 23 août, est de donner aux militants le sentiment qu’ils sont « chez eux ». « Je me sens comme chez moi », dit à ToutEduc Skaïste, qui vient de Lituanie et qui a découvert ce mouvement d’éducation populaire à l’occasion de son « service volontaire européen », mais qui est du coup restée en France, et qui assure, dans la région Centre, l’accueil et le suivi d’autres jeunes européens. Elle évoque « quelque chose qui unit ». Tous disent, chacun avec ses mots, qu’ils sont là parce qu’ils sont militants, donc « pleins d’espérances », selon l’expression d’un retraité qui « retrouve la patate » en écoutant les jeunes et les moins jeunes qui se retrouvent sur le campus de Grenoble pour 5 jours de convivialité.

Contrairement à celui d’Aix qui, en 2010, avait adopté un « manifeste » et affiché les ambitions du mouvement, « construire une société plus juste, plus solidaire, plus égalitaire, dans une perspective éducatrice et émancipatrice », ce congrès n’a pas d’autre enjeu que d’être un « moment d’effervescence » et surtout de convivialité. « Je me régale », nous dit Coline, 26 ans. Jean-Philippe Tjibaou est président des CEMEA de Nouvelle-Calédonie, rebaptisés Pwära Warö (« jaillissement de la vie ») et il est venu présenter un outil qu’il a mis au point en s’inspirant des flèches qui ornent les toitures des cases, et qui permettent de dire qui on est, de quoi on est fier. « Cela permet de partager des valeurs avec des non-kanaks dans le cadre du congrès. » Pour certains, c’est un retour aux sources. Jean-Paul Delahaye, inspecteur général, ancien directeur de l’enseignement scolaire, se souvient que, élève de l’école normale, il avait préparé l’équivalent du BAFA (le diplôme de moniteur de colonie de vacances), avec les CEMEA. Pour d’autres, c’est leur premier congrès. David, un peu par hasard, a fait un stage aux CEMEA, et « je me suis retrouvé dans leurs valeurs », « privilégier l’humain, avoir un regard bienveillant, la réflexion avant l’action sans dissocier les deux ».

Un enjeu qui n’était pas forcément attendu

C’est aussi ce que nous dit André Sirota, le président du mouvement. Il cite une militante qui repartira « avec des repères pour l’action qui ne seront pas carrés ». Elle savait déjà, mais elle le sait encore mieux, qu’il faut parfois suspendre l’action pour « parler, s’ajuster »… Car ce congrès se découvre un enjeu qui n’était pas forcément attendu. « On attendait au moins 700 participants, nous sommes 8 à 900, dont 80 venus d’outre-mer ». Après un moment de creux, dans les années 90, peut-être dû à la création des IUFM et à la fin de l’obligation, pour les futurs instituteurs, d’un stage dans un mouvement d’éducation populaire, on assiste à un renouveau du militantisme. Alors que les 35-45 ans sont peu nombreux, les anciens passent le relais aux plus jeunes.

Ceux-ci cherchent des lieux de partage qui n’existent pas dans les institutions, où tout est compartimenté, hiérarchisé. David raconte sa surprise la première fois qu’il s’est retrouvé autour d’une table avec une cinquantaine d’enseignants, d’animateurs d’activités périscolaires comme lui-même, et d’autres professionnels « tous sur un pied d’égalité » avec un même souci, les enfants, alors qu’il se sentait jusque là « isolé », exerçant un métier « non valorisé ». Son propos répond d’ailleurs aux préoccupations de Jean-Luc Cazaillon, le directeur général, « faire un mouvement militant » plutôt que « développer un organisme de formation », même si les CEMEA ont, aussi, cette fonction, et investissent des champs divers, le périscolaire, l’action sociale, la santé mentale, la culture…

Le congrès est marqué par des moments forts, comme l’intervention d’Edwy Plenel, salué par une « standing ovation », et par des moments de doute, quand par exemple Sarah, elle aussi une jeune militante venue aux CEMEA via son service civique, décompte les prises de parole des hommes et celles des femmes, et constate un net déséquilibre : « sur ce plan, ce n’est pas mieux chez nous qu’ailleurs », mais « nous sommes là pour évoluer »…

La réussite scolaire aussi

A l’occasion du congrès, les CEMEA rappellent qu’ils se réclament de « l’éducation nouvelle » et qu’ils travaillent aussi sur les conditions de la réussite scolaire : « créer un climat de confiance et de sérénité entre les enfants, les jeunes et les adultes », « travailler finement à la complémentarité des différents acteurs et actrices éducatifs », »créer des liens de confiance avec les parents ». Cent projets ont été présentés, comme « l’école de quartier » mise en place à la Guadeloupe et à Perpignan pour remobiliser des jeunes ayant décroché, le « Slam pour faciliter l’expression et l’ouverture sur l’autre », dû aux CEMEA Picardie, ou les espaces de parole des CEMEA de Mayotte… Aux autres militants de s’en emparer et de les transposer dans leurs pratiques.

le site du Congrès des Ceméa http://congres2015.cemea.asso.fr/

Pascal Bouchard, Agence de presse ToutEduc

 

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le Dauphiné, le 23 Août 2015 https://test.cemea.asso.fr/non-classe/2015/08/le-dauphine-le-23-aout-2015/ https://test.cemea.asso.fr/non-classe/2015/08/le-dauphine-le-23-aout-2015/#comments Thu, 20 Aug 2015 21:40:55 +0000 http://congres2015.cemea.asso.fr/?p=3202 Saint-Martin-d’Hères le congrès national des Centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active «Nos valeurs fondamentales sont celles de la laïcité»                                             Le ... Lire la suite ›

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Saint-Martin-d’Hères le congrès national des Centres
d’entraînement aux méthodes d’éducation active

«Nos valeurs fondamentales sont celles de la laïcité»                                             Le congrès national des Centres d’entraînement aux
méthodes d’éducation active (Ceméa) a débuté hier à Saint-
Martin-d’Hères et se poursuit jusqu’à demain. Christian
Gautellier, directeur du département « Enfants, écrans,
jeunes et médias », nous présente ces structures et leurs
missions.

Quels sont les champs d’action des Ceméa ?                                                   C’est un grand réseau national d’éducation populaire,
fondé en 1937. On est associé à ce qu’on appelle
l’éducation active. On intervient sur tout ce qui concerne
l’éducation (école et hors école), les loisirs dans une
dimension éducative, les pratiques culturelles et tout le
champ de l’action sociale et sanitaire.
Qu’est-ce que vous entendez par « éducation active »?
Le principe des méthodes d’éducation active, c’est de
considérer que ce sont les personnes qui vont transformer
les systèmes. En partant de ce postulat, on les fait réfléchir
sur leur engagement citoyen, sur la responsabilisation des
jeunes.
Quels sont les moyens d’action des Ceméa?
On forme les professionnels du champ de l’éducation, mais
aussi des bénévoles. Après, on a aussi un certain nombre
d’actions directes avec le public: par exemple, au Festival
d’Avignon, on a accueilli plus de 600 lycéens et apprentis
sur des parcours d’initiation culturelle.
Les valeurs historiques du réseau d’éducation active se
sont-elles adaptées aux évolutions de la société?
Oui, bien sûr! Les Ceméa sont inscrits dans la société
depuis 1937, et ont donc suivi un certain nombre
d’évolutions. Mais nos valeurs fondamentales sont
celles de la laïcité, elles prônent l’émancipation des
personnes à travers l’éducation, et sont, en quelque sorte,
intemporelles.
Propos recueillis par E.B.

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