Steew Anaïs, nouveau administrateur Ceméa Guadeloupe Steew Anaïs est administrateur des Ceméa Guadeloupe depuis cette année. C’est donc la première fois qu’il participe au congrès. Il a été impressionné par le brassage de tout ce monde venant de différents Pays et de différents secteurs d’activités mais qui sont là parce qu’ils militent pour la même cause. Et pour lui ce congrès reflète la réalité. « Le monde est comme ça ! »

Poussé par sa curiosité, Steeve a choisit l’activité « randonnée en Belledonne », pour découvrir la région dans sa profondeur observer la hauteur des montagnes mais surtout être en contact direct avec la nature. Il est content de l’activité parce que, tout au long de la randonnée, il a pu échanger naturellement avec les 23 participants venant de différents AT.

Steew Anaïs a l’habitude de faire la randonnée chez lui en Guadeloupe. Seulement ici l’atmosphère est différent parce qu’ Il était plus essoufflé. Venant d’une région ensoleillé, arrivé au lac Achard, il a été surpris l’air sec et le soleil qu’il dit être différent de chez lui. En moins d’une heure il a bronzé et en déduit qu’aux Antilles on est beaucoup plus protégé par le soleil.

Écrit par Zaïnaba et Layla

Cet article Steew, Guadeloupe est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Elle a commencé l’animation dans son village avec l’association MJC. De là, il lui a été proposé de passer le BAFA. Ce qu’elle fera il y après de 4 ans. Le Bafa correspondait avec l’anniversaire des 20 ans des Ceméa. Elle a donc participé à cet événement et aux activités, échanges de cette journée.

Ensuite, elle a poursuivi avec son association dans le cadre d’un service civique. Il s’agissait d’animer des moments inter générations en soiré. Puis elle a continué son cursus Bafa. Il y a un an elle a été invitée sur un premier stage avec l’équipe de formateurs. Elle a ensuite participé aux formations de formateurs et rencontres militantes. Alors qu’elle entre en seconde année de droit au centre universitaire, elle se dit qu’elle choisira peut être le métier d’éducatrice  spécialisée.

Le congrès ? « C’est une grande chance de rencontrer des personnes que je n’aurais jamais pu croiser ». La découverte et le partage sont les deux mots qui reviennent dans ses propos. Comme exemple de focus elle donne celui qui concernait les parents et l’accompagnement des enfants dans leur scolarité. En terme d’activités, les danses et chants créoles lui laissent plus qu’un souvenir mais plutôt l’envie de repartager avec d’autres.

La rencontre outremer a été riche, cela a permis de découvrir « nos voisins » différents et pourtant si proches par leurs actions, leurs questionnements.

Elle sait qu’il y aura des suites, d’autres rencontres, des projets.

« Je me sens à l’aise ici, comme chez moi ! »

Cet article Nissoiti, Mayotte est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Il y a 4 ans, Nabil participait à un stage Bafa. Il habitait en face des Ceméa, dans son village de Loni. Mais ce n’est pas cela qui l’a conduit à ce choix. « En fait, les Ceméa organisaient des rencontres parentalité. J’ai été sollicité, avec d’autres jeunes, pour créer et jouer des saynètes qui introduisaient les rencontres avec les parents. Les questions posées,la manière de faire avec les gens, cela m’a plu ». Quand Achmed lui a expliqué qu’il existait le Bafa alors il s’est inscrit.

Depuis il n’a aucun regret au contraire, il a enchaîné les animations, les ACM, un service civique, et maintenant il est animateur dans le cadre d’un Contrat d’Avenir. Il se sent « dedans », fabriquer, animer des espaces jeux, créer des films, jouer des saynètes,…sont ses domaines de prédilection. Mais il est ouvert sur d’autres propositions. Le congrès ? Cela le confirme dans cet d’environnement. Les propose d’Edwy Plenel l’ont marqué. Il cite plusieurs moments, comme le focus présenté par des militants de Picardie sur le Slam l’a intéressé et il veut en savoir plus. Les rencontres sont nombreuses et le rythme soutenu, intense.

« Mais on se sent accueilli ici ».

Une impression de faire partie de l’aventure, de manière active.

Au retour « on va continuer » faire bouger des choses, améliorer ou diversifier nos actions. …

Cet article Nabil, Mayotte est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Valérie est aujourd’hui membre du Conseil d’Administration des Ceméa Martinique. C’est lors de son stage BAFD qu’elle a croisé leur chemin et est d’abord devenue formatrice BAFA. Les Ceméa sont pour elle une possibilité de surmonter sa timidité et de se projeter dans l’avenir. En dehors de ses actions militantes, elle est animatrice en gérontologie.

C’est la première fois qu’elle participe à un congrès. Elle y est venue pour découvrir de quoi il s’agissait et ce qu’il s’y disait, mais aussi pour l’opportunité que cela représente de rencontrer d’autres Association Territoriales et faire de nouvelles connaissances.

Un slogan pour les Ceméa dans les années à venir : « Plus de force pour demain! »

Cet article Valérie, Martinique est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Claude Lemki, militant actif des Ceméa Guyane depuis plus de 10 ans. Vivant à Kourou, il est le principal animateur territorial des Ceméa Guyane dans la ville. Les BAFA et BAFD sont les stages auquel Claude participe le plus activement.

Grand passionné de sport et d’échanges, il aspire pour ce congrès à un échange de pratiques quant aux actions des différentes régions. Il attend un meilleur retour aux expérimentations sur le terrain. « C’est comme faire de la cuisine, dire que c’est bon sans y avoir goûté. »

Cet article Claude, Guyane est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Alexis est militant aux Ceméa Russie depuis 3 ans.

Il se rend à son premier congrès et a fait l’honneur de nous accorder une interview.

Il y parle de l’organisation et des champs d’actions des Ceméa en Russie, des attentes qu’il a du congrès, des liens qui existent avec les Ceméa en France.

Cet article Alexis, militant Ceméa Russie est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Cet article Porträt von Soraya und Hamouda est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Cette association écologique défend les espaces verts et les principes de citoyenneté verte, avec par exemple, la défense d’un parc urbain en plein centre de Tunis qui est menacé de destruction par des promoteurs immobiliers.

L’association travaille en partenariat avec les Ceméa au travers des échanges de volontaires et de la formation à la citoyenneté verte.

Ils attendent de cette semaine de Congrès des rencontres qui leur permettront de trouver des partenaires afin de monter de nouveaux projets en commun. Ce Congrès semble également pour ces deux militants l’espace pour réfléchir à l’avenir de notre planète ensemble.

Pour Soraya et Hamouda, le slogan des Ceméa de demain pourrait être : « changer le monde, changer l’éducation »

Cet article Portrait de Soraya et Hamouda est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Geoffroy est militant des CEMEA Belgique, fédération Wallonie Bruxelle, depuis 1993.

Les CEMEA de Belgique interviennent auprès de personnes de 0 à la fin de vie, avec un secteur 0 – 3 ans assez développé. Ils interviennent également dans le cadre de ce que nous appelons en France le BAFA mais aussi dans le cadre de formations professionnalisantes dans l’animation. La santé mentale et la culture sont également des secteurs qui se déploient. Les CEMEA Belgique sont également organisateur de Centre de vacances, ce qui leur permet d’avoir des terrains d’expérimentation

Cet article Geoffroy, Belgique est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.

Eric, militant CEMEA depuis 1984 s’est prêté au jeu de l’interview. Avant d’être administrateur national, il était permanent aux CEMEA du Centre et aimerait désormais rejoindre les CEMEA Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.

Lors de ce congrès, Eric fait partie du Groupe de Direction du Congrès et se mobilisera sur l’environnement suscitant, la scène ouverte et l’activité.

A travers ce congrès, il souhaite que les CEMEA continuent à vivre et aimerait que l’on définisse ce que nous avons envie de faire demain et non ce que la société aimerait que l’on fasse.

Il attend avec impatience l’axe 3 qui, selon lui, lancera des pistes importantes sur ce que seront les CEMEA dans 20 ou 30 ans. Estimant que notre environnement est de plus en plus complexe, Eric attend également beaucoup de l’axe 1: comprendre notre environnement.

Sa devise pour les CEMEA de demain: « L’éducation nouvelle toujours! »

Cet article Portrait d’Eric est apparu en premier sur Congrès national des Ceméa 2015.