Au cours des tables rondes, dans les groupes Focus, nous avons reçu une réponse constructive à plusieurs questions qui avaient été abordées.

Nous avons eu un intérêt particulier vis-à-vis des programmes de formation et d’accompagnement des volontaires et de formation professionnelle des animateurs et des formateurs.

La Russie est ouverte à la coopération dans la réalisation de projets d’éducation et de la place de la jeunesse dans la société civile.

Le diction russe dit : Celui qui marche peut toujours espérer conquérir n’importe quel chemin, y compris le chemin inabordable et nous le suivrons ensemble, côte à côte.

Bon courage !

Alexeï Kisliakov, Ceméa russes Tchéliabinsk, Russie.

Traduit par Valentine Kazantceva-Duterde

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(inspiré de la table ronde Psychothérapie et pédagogie institutionnelle, réinventer du possible)

Il y a près de 60 ans avait lieu le premier congrès des Ceméa. Un après-midi fut consacré à la psychiatrie. Émerge alors l’idée de mettre en place des stages à destination des personnels psychiatriques. Volonté de transformer le milieu asilaire. Volonté d’amener de l’animation et des méthodes actives.

Petit retour en arrière.
1940, Daumezon, Saint-Alban, révolution.
Base de la psychiatrie nouvelle.
Échanges entre personnels et patients.
Vraies conditions d’accueil et de travail.
Oser remettre en question la hiérarchie statutaire.

La psychothérapie marche sur 2 jambes.
Une clinique. Une politique.
Aujourd’hui, nombre de soignant-e-s ont une jambe de bois.
Transformer ce qui va de soi, ce qui est établit.
La relation qui se réinstalle pour envisager de nouveau le soin.
Audace : prendre des logiques plurielles.
Oury disait que la psychothérapie n’existait pas.
Deligny aurait surement dit la même chose.
Éduquer, soigner, gouverner,
Trois métiers impossible disait Freud.
Souvent on n’atteint pas l’objectif fixé.
On accueil la souffrance.
L’État a oublié son rôle de soutien.
Image de soi = on ne sait plus qui on est.
Transfert : relation de confiance.
Constellation transferentielle, pour le soignant, pour le patient.
Remise en question, nécessité d’être un groupe.
Le politique, la solution.
Soigner les fous dans la cité, avec la cité.
Abandon, politique démagogique.

Vers 2 ans toute puissance infantile.
Limiter la puissance.
Autorité parentale. Intérioriser.
Absence de limite, comportement pathologico-social.

Problème de temps, problème du temps.

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Lieu : Sciences Po, amphi E vendredi 21 à 20h30.

Miniyamba de Luc Pérez. Comme des dizaines de milliers de personnes qui chaque jour dans le monde quittent leur terre natale, Abdu, un jeune musicien malien, a décidé de gagner l’Europe. Un voyage du fleuve Niger aux barbelés de l’enclave de Ceuta, où les rêves se confrontent à la dure réalité des migrants, avec au loin les lumières de l’Occident… Tout au long du voyage, la musique d’Abdu apporte compassion et espoir à ses compagnons.

Où je mets ma pudeur? de Sébastien Bailly. Le passage à l’oral approche pour Hafsia, talentueuse étudiante en Histoire de l’Art. On l’avertit que les portes de l’examen lui seront closes si elle s’y présente avec le hijab recouvrant sa chevelure de jais. Entre intime et dévoilé, entre chair et tissu, Hafsia est enveloppée par une profonde envie d’affirmer sa vision du désir.

La petite casserole d’Anatole d’Éric Montchaud. Anatole traîne toujours derrière lui une petite casserole. Elle lui est tombée dessus un jour… Véritable handicap, elle se coince partout et l’empêche d’avancer.

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui. Années 1990, alors que l’Algérie est meurtrie par la décennie noire, Djaber et Yamina traversent avec fracas l’adolescence. L’horreur se meut à l’ombre de leur cité et les interdits les oppressent à la maison comme en classe, pourtant envies et espoirs frémissent encore dans leur esprit. Après avoir croisé le regard de Yamina, Djaber veut maintenant faire rejoindre leurs deux chemins.

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Cette association écologique défend les espaces verts et les principes de citoyenneté verte, avec par exemple, la défense d’un parc urbain en plein centre de Tunis qui est menacé de destruction par des promoteurs immobiliers.

L’association travaille en partenariat avec les Ceméa au travers des échanges de volontaires et de la formation à la citoyenneté verte.

Ils attendent de cette semaine de Congrès des rencontres qui leur permettront de trouver des partenaires afin de monter de nouveaux projets en commun. Ce Congrès semble également pour ces deux militants l’espace pour réfléchir à l’avenir de notre planète ensemble.

Pour Soraya et Hamouda, le slogan des Ceméa de demain pourrait être : « changer le monde, changer l’éducation »

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Et à l’image des militants qui vous ont donnés le numéro d’hier, ces journaux étaient distribués dans la rue à la criée (pas celle des poissons). C’est au cours de la seconde moitié du XXè siècle que cette méthode de distribution se généralisa, portées par quelques journaux innovateurs qui tentaient de séduire un nouveau lecteur plus populaire.

En outre, après l’invention de l’imprimerie, l’axe Rhin-Rhône, bassin économique et commercial, était privilégié pour la diffusion de la presse imprimée. Alors pourquoi ne pas raviver la tradition ici à Grenoble ?

article 

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Par Jeanne Frommer

Investir l’espace du Congrès. Au-delà du multilinguisme des espaces publics, les congressistes internationaux doivent prendre possession des lieux. Visuellement, physiquement.

En amont, par la signalétique et les supports de communication dans plusieurs langues, dans la salle du séminaire avec des listes de mots usuels de chaque langue représentée. En investissant l’environnement suscitant, lieu de rencontre et d’échange pour tous les congressistes quelle que soit leur nationalité.

Physiquement, en prenant place sur le campus. En commençant leur parcours de congressiste par découvrir les lieux, les comprendre, les assimiler. En voyant et en étant vu. Dès le lundi matin on peut voir un groupe sur les pelouses en face du restaurant Diderot. Que font ces gens en cercle de si bon matin ? Ils ont un comportement bizarre : les voilà qui courent, qui se pointent du doigt en criant « zip » par ci, « zap » par là… Les animateurs sont partout et la convivialité est reine. Que se passe-t-il quand des associations d’éducation et de jeunesse du monde entier se retrouvent ? Elles jouent. Avant toutes choses. Et elles définissent par la même occasion, d’emblée, les bases de ces deux jours de séminaire. Les participant-e-s s’installent en cercle. On peut difficilement imaginer plus égalitaire, toutes et tous à la même distance, ou à la même proximité. Dans leurs dispositifs, les Ceméa se doivent d’utiliser les méthodes qui les caractérisent si bien : ce séminaire est à l’image de ce cercle, ce ne sont pas des situations de formation, d’éducation formelle et traditionnelle mais bien des temps d’échanges entre pairs.

On se positionne aussi physiquement par rapport aux autres membres du Congrès déjà présents. En participant par exemple à la soirée des Outremers. Car ces participant-e-s au séminaire, que sont-ils sinon des représentants d’un Outremer ? Par-delà la Méditerranée pour certains, par-delà des montagnes ou un fleuve pour d’autres, frontières terrestres qui n’en sont pas moins une distance qu’il faut combler ou à l’inverse exploiter, mettre en valeur, sublimer. Magnifier cet espace et s’en servir. Transposer, utiliser cette distance dans le lieu même du Congrès comme une force, comme un moyen d’échange, de partage, de découverte de et avec l’autre… un moyen de proximité donc.

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Ces langues, on peut aussi les entendre…

Séminaire International: top départ

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Réunir 800 militant-e-s d’une association est en soi un événement. Qu’ils viennent de l’autre bout du monde n’est pas moins impressionnant. Mais comment s’approprier un tel moment, comment trouver sa place au milieu des congressistes quand on ne parle pas français, ni même anglais, comme László qui est hongrois ? Comment s’intégrer à part entière aux temps de réflexion ? Lorsqu’on lui demande – en allemand qui est la seule langue que nous avons en commun – si cette situation n’est pas trop compliquée, il nous explique qu’il a toujours travaillé comme ça et surtout que les gens aident. Hier, José du Portugal a traduit simultanément en anglais la séance d’ouverture, permettant ainsi une traduction consécutive en hongrois.

C’est une habitude à prendre. Un automatisme. Une prise de conscience de l’autre dans toute son identité culturelle, nationale, linguistique. La langue n’est-elle pas la dématérialisation de notre espace national ? Une partie de notre identité culturelle qui représente notre pays en dehors de ses frontières ? Cette question des frontières et des territoires est au cœur des préoccupations des Ceméa, notamment de ces deux jours de pré-Congrès avec le rassemblement des Outremers et le séminaire.

Il s’agit alors de s’approprier cet espace « étranger » dans tous les sens du terme.  En s’appropriant notamment l’espace de parole : par la langue de chacun mais aussi par l’anglais, langue commune qui paradoxalement n’est ici la langue de personne. Tout le jeu est là : trouver un langage commun. Pour communiquer d’abord, pour réfléchir ensuite. Un des participants évoque comme attente du séminaire la discussion sur les « concepts jeunesse » afin d’arriver à un « langage commun ».

Ainsi au-delà des mots que nous utilisons, il s’agit bien de réfléchir aux concepts même dont nous débattons.

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Ces langues on peut aussi les voir…

Animation linguistique/animazione linguistica

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Lundi matin, nous ne sommes toujours qu’en période de Pré-Congrès mais pour certains le travail a déjà commencé. C’est le cas de 40 participant-e-s au séminaire organisé par le pôle Europe et International. Des membres d’associations partenaires des Ceméa à travers le Monde mais aussi des militant-e-s et des permanent-e-s des associations territoriales des Ceméa. Des participant-e-s qui viennent d’Allemagne, d’Espagne, d’Italie, du  Portugal, de Russie, de Belgique, d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, du Cameroun, de Hongrie, de Lituanie, de Martinique, de Guadeloupe, de la Réunion, de France métropolitaine.

2015 est une année pleine d’innovations et d’expérimentations pour le Congrès des Ceméa. C’est notamment la première fois qu’il a été choisi d’organiser un séminaire Europe et International en même temps que le Congrès. Les participant-e-s attendent plusieurs choses du séminaire mais aussi du Congrès. Katerina, volontaire européenne aux Ceméa Centre, vient de Russie et est ravie de participer à cet évènement qui ne connaît pas d’équivalent chez elle. Elle pense qu’elle et les différents partenaires étrangers pourront « voir ce qui se fait en France et s’inspirer de l’expérience des Ceméa » dans leurs pays respectifs. Ils se nourriront des conférences et des présentations de projets d’éducation nouvelle proposées pendant toute la durée du Congrès, notamment sur les thématiques abordées pendant le séminaire.

Réciproquement, la tenue du séminaire international est importante pour l’ensemble des congressistes. La présence de partenaires venant du Monde entier apportera beaucoup aux travaux du Congrès par un regard interculturel, un échange d’expériences et de pratiques et la découverte de l’autre. Cette simultanéité des deux évènements va dans le sens d’une ouverture et d’une volonté de se remettre à travailler ensemble, avec les autres, d’inventer l’avenir des Ceméa France comme association inscrite dans un réseau, qui ne fonctionne pas seule mais à plusieurs. La réflexion des participant-e-s au séminaire sur la thématique de la jeunesse viendra nourrir celle de l’ensemble des congressistes.

En effet, l’objectif de ce congrès 2015 est de poser les bases des Ceméa de demain. « Penser et agir l’avenir » nous dit le slogan de cette onzième édition. Et qui mieux pour penser l’avenir et le vivre que les jeunes ? Ceux qui portent les Ceméa d’aujourd’hui et porteront ceux de demain. Mais aussi les jeunes en général. Ceux qui constituent une part essentielle de nos sociétés, qui sont au cœur des actions des associations d’éducation et de jeunesse. C’est sur cette thématique que le séminaire Europe et International a décidé de se focaliser. En s’interrogeant à la fois sur la place des jeunes dans la vie associative et la société civile.

S’interroger, diagnostiquer cette place, ce rôle de la jeunesse pour à terme proposer des préconisations pour la jeunesse. Mais de quelle jeunesse parle-t-on ? Qu’est-ce que la jeunesse ? Quels problèmes sont rencontrés dans les différents pays représentés par la jeunesse ? Et par les associations de jeunesse ? Comment expliquer ces problèmes, cette situation ? C’est avec ces questions que les temps de réflexion de ce séminaire ont commencé. En confrontant leurs réflexions, leurs expériences tout au long de la semaine, les participant-e-s au séminaire pourront à leur échelle poser les bases des actions des Ceméa de demain dans le domaine de la jeunesse ainsi que celle des différentes associations partenaires.

Rendez-vous au moment du bilan pour des premiers éléments de réponse et pistes de recommandations.

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• Permettre à chacun de se construire son programme, ou de se retrouver avec d’autres congressistes, de ne rien faire, de discuter, de jouer…
• Proposer aux congressistes qui le souhaitent, dans le cadre de l’environnement suscitant et du dispositif « Scènes ouvertes », des espaces permanents et différents rendez-vous chaque jour. Certains pourront concerner et accueillir un petit nombre de personnes à chaque fois. Il s’agira aussi de propositions pour aller à la rencontre de la ville ou se retrouver autour d’un thème, ou dans le dispositif « Scènes ouvertes ».

D’autres rendez-vous constitueront le programme principal d’une soirée. Ce sera le cas le jeudi 20 et le samedi 22 pour la soirée festive.
L’information plus détaillée sera mise à disposition des congressistes chaque jour.

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• une pratique d’activités
• une analyse de ces temps de pratiques pour visiter ou revisiter la mise en oeuvre des principes d’Éducation Nouvelle
• un débat plus général sur le sens de ces activités dans le projet des CEMÉA, leur enjeux pour aujourd’hui et pour demain. Il pourra permettre, comme pour tous les autres temps de travail du congrès, de faire remonter au GDC des éléments pouvant contribuer aux synthèses de fin de congrès.

De nombreux domaines et activités seront proposés, et permettront à chacun de construire son parcours. Elles pourront se dérouler sur des tranches de 3, 6 ou 9 heures. À titre d’exemple seront proposées des activités de découverte de l’environnement, des activités physiques et sportives, des jeux collectifs, des activités manuelles techniques et scientifiques, des activités de pleine nature, des activités d’expression, des activités « médias », etc.

Les inscriptions se feront sur place, selon vos envies et vos choix, dans la mesure du possible au regard des contraintes inhérentes à chaque activité.
Pensez néanmoins à emporter/prévoir les équipements adaptés en fonction de vos souhaits.

Voici la liste des propositions :

Vendredi après midi et soirée

ESCALADE – Grimper, escalader, c’est s’organiser à deux pour « aller en haut et revenir en bonne santé ! ». Ce jeu avec les émotions, l’effort et le vide est accessible à tous et toutes et vient questionner notre rapport au risque, à l’autonomie et à la confiance. Le vendredi après midi : escalade en site naturel (15 personnes, durée 3 à 5h00). Possibilité de via ferrata le jeudi soir… (15 personnes, durée 3h00)

DANSE COLLECTIVE (30 personnes, durée 3h00) – Moments de convivialité, les séances de danses collectives se proposent de faire découvrir ou de retrouver le plaisir de la danse, de pratiquer une activité de loisir social, de développer ses capacités musicales et corporelles et d’évoluer avec plus d’aisance. Le répertoire est composé de danses traditionnelles, populaires ou folkloriques, et de danses de création plus récentes inspirées du madison, du charleston, du slow, de la samba, du disco, etc. Les pas utilisés sont accessibles à tous : pas marché, pas brossé, pas chassé, pas de polka, pas de scottish, pas de valse, etc.

UTOPOESIE  (20 personnes, durée 3h00) – Il s’agit dune écriture poétique sur des petits supports ou bandes de papier à partir des publications des CEMEA et d’autres mouvements d’Éducation nouvelle (matière première principale : VST, VEN, Cahiers de l’animation), à écrire, lire, dire, partager, …

SENSIBILISATION À L’ENCADREMENT D’ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES  « THÉORIE ET PRATIQUE » (15 personnes, durée 6h00) – Comme Mr Jourdain, tout le monde pratique des activités scientifiques sans le savoir en ramassant des cailloux lors d’une ballade, en s’extasiant sur un paysage en observant une araignée tisser sa toile. En tant que citoyen ou citoyenne nous sommes amenés à nous poser des questions sur l’avenir du nucléaire, sur les méfaits des gaz à effet de serre sur la procréation assistée. Afin de développer l’esprit critique de chacun et chacune, il y a lieu de conforter ou de développer un minimum de compétence, de savoir faire…

AUTOUR DE LA LITTÉRATURE DES DÉPARTEMENTS FRANÇAIS D’AMÉRIQUE (15 personnes, durée 1h30) – Il s’agira de partager en utilisant différentes formes d’expression, des textes littéraires, des extraits d’ouvrages, d’auteurs de la zone Antilles – Guyane.

RYTHME ET PERCUSSION (30 personnes, durée 1h30) – Proposé par les militants et les militantes des Associations territoriales des Départements Français d’Amérique, il s’agira pour ce moment d’activité, de faire danser et chanter les participants à partir de différents rythmes.

UTILISER LES OBJETS ET DES ÉLÉMENTS NATURELS À RECYCLER (15 personnes, durée 1h30) – A partir de la récupération d’éléments naturels et d’objets manufacturés usagés, sera redonnée une nouvelle perspective à ces déchets en confectionnant des objets utiles et nécessaires à des activités de la vie quotidienne.

NOUVEAU SPORT, NOUVELLE MANIÈRE DE JOUER (35 personnes, durée 3h00) – Le tchoukball est une pratique à mi-chemin entre le jeu et le sport. Sa logique originale perturbe les habitués des sports collectifs. Le rapport à l’espace déroute : les trampolines n’appartiennent à aucune équipe, les actions défensives ne se font pas sur les joueurs mais dans une logique de protection de la cible (le sol). L’absence de contact et d’actions agressives offre la possibilité à chacun de pratiquer.

LES JEUX DE PIONS AUX MÉCANIQUES LUDIQUES DÉSTABILISATRICES. (30 personnes, durée 3h00 soirée) – Qu’est-ce qui poussent les joueurs à tricher dans un jeu de coopération ? A adopter des comportements anti-coopératifs à l’opposé de la logique du jeu ? Bienvenue dans des jeux qui invitent à penser, à agir autrement, différemment, qui déroutent parce qu’ils créent des relations inter-joueurs inhabituelles.

ACTIVITÉ PLASTIQUE … (15 personnes, durée 3 à 5h00) – Autour de CALDER et du musée de Grenoble,il s’agira de parcourir un chemin créatif entre la découverte des œuvres de Calder et une pratique artistique au cœur d’un espace mobile, d’ombres et de mouvement.

ACTIVITÉ MANUELLE ET FABRICATION (15 personnes, durée 3 à 5h00) – A partir de la visite au musée du dauphinois ? Nous imaginerons, réfléchirons, construirons des objets et/ou des jouets.

CELLOGRAFF ET LIGHTPAINTING (20 personnes, durée 2 x 3h00) – La graff où l’on veut et quand on veut à partir d’une surface de plastique tendue… L’activité se déroulera le vendredi après-midi avec un apprentissage des savoir-faire de base et de la pratique créative et se poursuivra le soir, avec du light painting en ville à partir des graffs rencontrés dans les rues.

PARCOURS DÉCOUVERTE DE LA VILLE AVEC DES MOYENS DE TRANSPORT DOUX (20 personnes, durée 3h00) – Grenoble est une des villes ayant plébiscité une projet écologiste, les moyens de transports y sont nombreux, ce parcours nous invite à découvrir la ville en prenant le temps…

RANDONNÉE AVEC NUIT EN REFUGE (15 personnes, durée 6h00 + nuitée) – Le refuge de la Pra sera le but du parcours du groupe en fin de journée. La soirée sera l’occasion de discuter des enjeux éducatifs et réglementaires autour de l’accueil des mineurs en refuge. Cette proposition s’inscrit dans le cadre du partenariat FFCAM / CEMEA.

PARCOURS DÉCOUVERTE NATURE (20 personnes, durée 3h00) – Une invitation qui permet de s’échapper de la « cuvette » et d’aller découvrir sur les hauteurs la richesse du milieu naturel montagnard à travers un parcours guidé, faune et flore de la région…

S’APPROPRIER L’ENVIRONNEMENT URBAIN VIA LE STREET ART ET LE STREET SPORT (20 personnes, durée 3 à 6h00) – Ce parcours est proposé par l’association « Big Bang Ballers », membre associé de l’Association territoriale Rhône-Alpes. Il propose à partir d’une mise en activité, d’explorer les pratiques et les productions artistiques au détour des rues et espaces urbains dans la ville.

PETITE RANDONNÉE A LA PÉRIPHÉRIE... (20 personnes, durée 3h00) – Cette proposition invite à enfiler les chaussures de randonnée pour aller découvrir , aux abords de la ville ce qui peut nous surprendre et nous charmer, une balade au fil de nos envies.

VISITE DÉCOUVERTE AU MUSÉE DE GRENOBLE (25 personnes, durée 3h00) – Créé en 1798, le musée de Grenoble n’a cessé de s’enrichir pour présenter aujourd’hui plus de 900 œuvres. Un ensemble unique, que l’Association territoriale Rhône-Alpes nous propose de découvrir à partir du partenariat engagé de longue date.

LES JARDINS DANS LA VILLE (20 personnes, durée 3h00) – Une autre façon de découvrir une ville et un environnement urbain… Découvrir et cheminer par ses jardins… Une invitation du groupe national Éducation à l’Environnement.

DÉCOUVERTE DE LA VILLE DE NUIT À TRAVERS LE « GÉOCACHING » (20 personnes, durée 3h00) – Cette nouvelle forme de course au trésor servira de support pour aller à la découverte des habitudes, des modes de vie et du quotidien des habitants et du milieu grenoblois. Un outil supplémentaire pour comprendre et aller au devant de notre environnement.

« A PARTIR DE TEXTES, DE SONS ET D’IMAGES » (15 personnes, durée 3h00) – Il s’agit de proposer aux participants un parcours de créativité et de réalisations de « petites formes » destinées à être présentées au sein du groupe et/ou sur les Scènes Ouvertes du Congrès.

« L’IMPROVISATION » (20 personnes, durée 3h00) – Faire, ici et maintenant, avec les autres, à partir de règles de jeu, dans des cadres librement consentis. Improviser avec la voix, le corps, les mots par le chant, les sons, le mouvement, le jeu.

BALADE EN VTT ELECTRIQUE (15 personnes, durée 3h00) – Les VTT électriques ont une assistance électrique, ce ne sont pas des vélos qui avancent tout seuls… Il vous faudra toujours pédaler pour aller de l’avant, mais c’est la possibilité de découvrir une pratique qui devient accessible quelque soit sa préparation physique… Bonne balade.

Samedi matin

« PARCOURS AU MUSÉE » (20 personnes, durée 3h00) – Proposée par le pôle Culture, cette démarche prend appui sur la visite d’une exposition pour faire et recevoir.

« L’ÉCRITURE, LES ÉCRITURES » (15 personnes, durée 3h00) – Écrire avec les mots, les images, les sons. Écrire pour raconter, évoquer. Écrire pour dire, alerter, dénoncer. Écrire pour inviter au voyage… Un invitation du pôle Culture…

GRENOBLE DE HAUT – Lecture de paysage (20 personnes, durée 3h00) – Le paysage est un livre ouvert sur la relation entre e l’homme et l’espace. Il est composé à la fois d’éléments naturels et de l’usage qu’en font les hommes, en ce sens, il est un outil de compréhension du territoire. Le groupe national Éducation Relative à l’Environnement vous propose de découvrir Grenoble par son paysage vu d’en haut.

PÉDAGOGIE ET ARCHITECTURE (15 personnes, durée 3h00) – Dans la suite de l’exposition présente dans l’environnement suscitant, Jean-François Lyon-Caen, responsable du Master Architecture Paysages Montagne nous accompagnera au Collet d’Allevard pour visiter les différentes structures et comprendre les liens et articulation entre architecture et pédagogie.

JEUX TRADITIONNELS, NOUVELLES MANIÈRES DE JOUER. (40 personnes, durée 3h00) – Les jeux proposés placent les joueurs dans des situations déconcertantes soit en raison de l’originalité de la façon de s’opposer (wushu), soit en lien avec la symbolique de la violence (l’ours et son gardien), soit du fait des relations paradoxales entre les joueurs (les trois camps mélangés, les liaisons dangereuses)… Au cœur de ces expériences ludiques se construit l’empathie, élément déterminant de la compréhension de l’autre, de la citoyenneté.

TAROT DE CONTES – Un jeu outil d’Éducation nouvelle (20 personnes, durée 2h00) – Il s’agit aller d’une réalisation individuelle à une réalisation collective d’un récit. Du langage oral à l’écrit – de l’histoire première à une histoire plus complexe – des cheminements sont rendus possibles. Ce jeu avec ses variantes, son imagerie, à la fois contextualisée, mais aussi très ouvertes sur les frontières entre réel et imaginaire, permet une multitude d’activités, générationnelle ou intergénérationnelle.

VISITE DU SYNCHROTRON (20 personnes, durée 3h00) – Sous réserve d’un accord avec le CEA (Commissariat à l’Energie Atomique), une visite sera organisée sur ce lieu consacré pour l’essentiel de ses recherches, au développement des nouvelles technologies, dans les domaines de l’énergie, de la santé, de l’information et de la communication.

ESCALADE – Grimper, escalader, c’est s’organiser à deux pour « aller en haut et revenir en bonne santé ! ». Ce jeu avec les émotions, l’effort et le vide est accessible à tous et toutes et vient questionner notre rapport au risque, à l’autonomie et à la confiance. le samedi matin : escalade sur mur artificiel (15 personnes, durée 3h00)

DANSE COLLECTIVE (30 personnes, durée 3h00) – Moments de convivialité, les séances de danses collectives se proposent de faire découvrir ou de retrouver le plaisir de la danse, de pratiquer une activité de loisir social, de développer ses capacités musicales et corporelles et d’évoluer avec plus d’aisance. Le répertoire est composé de danses traditionnelles, populaires ou folkloriques, et de danses de création plus récentes inspirées du madison, du charleston, du slow, de la samba, du disco, etc. Les pas utilisés sont accessibles à tous : pas marché, pas brossé, pas chassé, pas de polka, pas de scottish, pas de valse, etc.

UTOPOESIE  (20 personnes, durée 3h00) – Il s’agit dune écriture poétique sur des petits supports ou bandes de papier à partir des publications des CEMEA et d’autres mouvements d’Éducation nouvelle (matière première principale : VST, VEN, Cahiers de l’animation), à écrire, lire, dire, partager,…

AUTOUR DE LA LITTÉRATURE DES DÉPARTEMENTS FRANÇAIS D’AMÉRIQUE (15 personnes, durée 1h30) – Il s’agira de partager en utilisant différentes formes d’expression, des textes littéraires, des extraits d’ouvrages, d’auteur de la zone Antilles – Guyane.

PARCOURS DÉCOUVERTE DE LA VILLE PATRIMOINE ET ARCHITECTURE (15 personnes, durée 3h00) – Avez-vous remarqué les clous cuivrés plantés dans les pavés ? Ils indiquent l’emplacement de l’ancien mur d’enceinte de Cularo, bien avant que la cité ne devienne Grenoble. Voilà une des particularité a découvrir au détour de ce parcours…

UTILISER LES OBJETS ET DES ÉLÉMENTS NATURELS À RECYCLER (15 personnes, durée 1h30) – A partir de la récupération d’éléments naturels et d’objets manufacturés usagés, nous redonnerons une une nouvelle perspective à ces déchets en confectionnant des objets utiles et nécessaires à des activités de la vie quotidienne.

VISITE DÉCOUVERTE AU MUSÉE DE GRENOBLE (25 personnes, durée 3h00) – Créé en 1798, le musée de Grenoble n’a cessé de s’enrichir pour présenter aujourd’hui plus de 900 œuvres. Un ensemble unique, que l’Association territoriale Rhône-Alpes nous propose de découvrir à partir du partenariat engagé de longue date.

BALADE A LA DÉCOUVERTE DE GRENOBLE (20 personnes, durée 3h00) – Une découverte de la ville au rythme des participants de leurs centres d’intérêt, de leur curiosité, de inattendu, de la rencontre… Bref… Votre découverte accompagnée !

PETITE RANDONNÉE A LA PÉRIPHÉRIE... (20 personnes, durée 3h00) – Cette proposition invite à enfiler les chaussures de randonnée pour aller découvrir , aux abords de la ville ce qui peut nous surprendre et nous charmer, une balade au fil de nos envies.

Tout au long du congrès

ÊTRE WEB-JOURNALISTE AU CONGRES... (20 personnes ou plus) – En participant à la réalisation de contenus vidéos, textes, photos… pour les médias du congrès. Pour en savoir plus, lire le descriptif du projet.

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